STOP AU BELLICISTE ROOSEVELT

Certains membres permanents du Conseil de sécurité ont tenté de faire du Conseil de sécurité une instance chargée de l'approbation ou de l'autorisation de leurs projets bellicistes.

Il est regrettable que l'autre partie aux négociations ait choisi la propagande belliciste et l'incitation à la haine contre l'Arménie à un travail sérieux pour trouver une solution négociée au conflit.

Ce crime est une conséquence logique de l'hystérie anti-arménienne que les autorités azerbaïdjanaises laissent se déchaîner depuis des années, ainsi que de la propagande belliciste de ces derniers mois, qui contamine peu à peu toute la société azerbaïdjanaise.

Aussi, tout aval donné aux mesures préventives - lesquelles sont plus fondées sur des intentions supposées que sur des faits objectifs et constituent, en fait, une manifestation moderne des tendances interventionnistes et bellicistes du passé - est en contradiction flagrante avec les fondements mêmes de l'ONU ainsi qu'avec l'esprit et la lettre de sa Charte.

La nation iranienne éprise de paix, qui aspire à un monde libéré des armes de destruction massive et du terrorisme, considère que les menées bellicistes des États-Unis sont une menace non seulement contre l'Iran, mais aussi contre la communauté mondiale tout entière.

Pour contrecarrer la propagande belliciste et les incitations à la haine dans le déclenchement et l'aggravation des conflits, l'UNESCO continue, comme en Europe du Sud-Est et ailleurs, d'appuyer les médias locaux, dont l'impartialité est de notoriété internationale, qui fournissent des informations non partisanes et qui défendent les valeurs de la coexistence pacifique et de l'entente mutuelle.

Mais une telle proposition est bien sûr inacceptable pour les « fins » dirigeants arméniens, les bellicistes du Karabakh consacrés héros nationaux, pour la simple et bonne raison que la « pauvre Arménie victime d'années de souffrance » se verrait alors privée d'un autre de ses mythes favoris, celui du soi-disant « blocus ».